Récit dans lequel un conflit majeur entre plusieurs factions conséquentes constitue la trame principale de la narration.
C’est avec un réel plaisir que nous replongeons dans ce space opéra ambitieux, prenant place dans une galaxie largement inspirée de la mythologie nordique, tout en présentant d’étonnants designs tout droit venus du XIXè siècle européen.
Désormais, Exar Kun et Ulic Qel-Droma ont pleinement embrassé le côté obscur de la Force. Tandis que le premier cherche de nouveaux adeptes, le second règne sur le monde de Cinnagar.
Cette trilogie finale se concentre sur le recrutement de supervilains par les deux camps, tant le Régime de Superman que l’Insurrection menée par Batman. Une idée plutôt interessante.
Nos trois valeureux celtes poursuivent leur quête des attributs du roi légitime en vue d’unir tous les clans, tandis que les obstacles divins se multiplient…
Me voici donc arrivé au dernier tome de cette saga qui promettait beaucoup. Si elle eu des hauts et des bas, ce dernier tome est globalement bon… Mais…
En pleine première guerre mondiale, le soldat Goetz est gravement touché. Mais il survit de manière miraculeuse, et découvre bientôt une mystérieuse famille…
Tandis que Gav est désormais sous la coupe du conquérant Sith Naga Saddow, sa soeur Jori fuit à travers la galaxie, et tente d’avertir la République de l’invasion imminente.
Vengeances et histoires de famille dans un somptueux univers de fantasy, malheureusement desservi par des dialogues qui frisent parfois le ridicule.
Le conflit prend des proportions magiques, puis une dimension divine, mais au détriment de la tension dramatique.
La Légende des Jedi se déroule plusieurs millénaires avant l’époque qui nous est la plus connue et nous propose de suivre les aventures de jedi anciens et mythiques.