La danse des canards

Article importé

L’article ci-dessous provient d’un ancien blog (qui lui-même contenait des articles très variés, ne portant généralement pas sur la BD). Lors de sa présente republication, il a été légèrement modifié. Mais en plus d’être plus ou moins daté, son formalisme ne suit donc pas la ligne éditoriale actuelle du blog que vous êtes en train de visiter.

Il y a peu, j’ai eu à m’inscrire sur un forum web afin de garder le contact avec différents acteurs professionnels. Il m’a fallu trouver un avatar pour l’occasion, qui ne soit pas trop « space ». Exit, donc, mon éternel avatar calqué sur l’illustration d’Arcanis, une carte du jeu Magic. Je suis donc parti à la recherche d’une image amusante, vaguement humoristique, un poil fantaisiste mais pas farfelue, et tout en restant dans le thème. J’ai finalement opté pour une image représentant Géo Trouvetou ! Fier de ma trouvaille, j’ai consulté mes collègues. Et j’ai découvert qu’aucun ne connaissait Géo Trouvetou !

C’est donc ainsi que m’est venue l’idée d’écrire cet article.

J’ai failli l’intituler « Justice pour Picsou ». A ce stade, je pense que vous l’aurez compris, cet article va traiter des célèbres canards de Donaldville, j’ai nommé : Picsou, Riri, Fifi, Loulou, Donald, Daisy, Miss Tick, les Rapetous, etc. (…bien que les Rapetous ne soient pas des canards !).

Les canards de Disney

Avant d’aller plus loin, il faut savoir que jusqu’à la fin du collège, j’étais un grand fan de la « famille Duck ». Malheureusement pour moi, c’était assez mal perçu car passant pour de la littérature très enfantine… Et pourtant, si j’avais autant accroché, ce n’était certes pas simplement pour le comique de répétition montrant des canards se taper dessus. Par cet article, je vais essayer de vous faire (sans doute) découvrir tout un univers que l’on relègue trop souvent à de la BD de basse catégorie pour jeunes enfants…

Aux origines…

Donald Duck

A l’origine était… Donald ! Donald-le-canard est apparu sous la forme d’un animal de ferme dans un dessin animé de 1934, au même titre que d’autres animaux rustiques. Pourtant, son personnage râleur a eu tellement de succès qu’il a rapidement eu ses propres aventures, avant que ne soit développé tout un microcosme autour de lui, avec notamment l’apparition de ses neveux Riri, Fifi et Loulou, ainsi que de sa fiancée Daisy. Si la mascotte de Walt Disney est bien Mickey Mouse, la souris héroïque ; on peut aisément voir en Donald Duck son inverse : l’anti-héros peureux, râleur, fainéant, mais au bon fond.

Carl Barks, le père fondateur

C’est alors qu’intervient le scénariste/dessinateur Carl Barks. Je me doute que ce nom ne vous dit absolument rien. Et pourtant… C’est lui qui créa les neveux de Donald, puis plus tard un autre personnage qui deviendra au moins aussi célèbre que le canard râleur : je parle bien sûr de Balthazar Picsou, oncle de Donald, le « canard le plus riche du monde ».

Carl Barks

C’est ainsi que commence la très longue histoire de la famille Duck à travers des milliers de pages de BD, d’histoires communes en chasses aux trésors, d’aventures fantastiques en avancées scientifiques… A travers ses nombreuses histoires, Barks crée de très nombreux personnages devenus communs pour la plupart. En dehors des 3 neveux de Donald et de Picsou, on peut citer :

Famille Duck étendue
  • Gontran Duck, cousin chanceux de Donald
  • Géo Trouvetou, l’inventeur farfelu
  • Grand-mère Donald et Gus, la famille paysane
  • Miss Tick, la sorcière qui en veux au premier sou de Picsou
  • Les Rapetous, bandits notoires
  • Flairsou, l’ennemi milliardaire de Picsou
  • Gripsou, sorte d’opposé dans l’ombre de Picsou
  • et j’en passe bien d’autres…

Nous en arrivons donc au cœur de cet article. Mais pour bien comprendre, il me faut maintenant évoquer les deux « Ecoles ». En effet, en parallèle du travail de Barks, deux Ecoles prennent forme dans le monde des BDs sur nos célèbres canards : l’Ecole Américaine et l’Ecole Italienne.

L’école américaine

L’Ecole Américaine existe dans le prolongement du travail de Carl Barks. Chaque histoire est travaillée relativement longuement. Les personnages ont des caractères marqués et constants d’une histoire à l’autre. La plupart des histoires sont cohérentes entre elles, et bon nombre d’entre elles exploitent des éléments existants réellement (mythes, évènements historiques, lieux réels…). Mais par dessus tout, et ça va sans doute vous étonner, l’Ecole Américaine fait un effort de continuité d’une histoire à l’autre. Bien sûr, celle-ci n’est pas toujours clairement visible, mais il reste néanmoins tout à fait possible de classer les histoires de Donald, Picsou & Co dans un ordre chronologique ! J’aurais l’occasion de revenir là-dessus.

Sur ce blog, vous retrouverez divers articles traitants des comics de l’école américaine. En voici les derniers :

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Life And Times Of Scrooge

Un album de musique inspiré de la série de BD "La Jeunesse de Picsou" !

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La Jeunesse de Picsou

Critique exhaustive de la "Jeunesse de Picsou" par Don Rosa, une œuvre majeure de la bande-dessinée Disney.

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La danse des canards

S’il y a bien une chose que j’aime faire sur mon blog, c’est trouver un titre qui n’a quasiment rien à voir avec l’article ; sauf qu’en fait si, un peu quand même, sinon ça n’aurait aucun intérêt.

L’école italienne

A contrario, l’Ecole Italienne est bien différente. Comprenant beaucoup plus d’auteurs, et sans doute aussi dans un soucis de parutions plus fréquentes, elle produit infiniment plus d’histoires. Mais la contrepartie est évidente : la qualité en est bien moins bonne. Souvent plus courtes, les histoires de l’Ecole Italienne n’ont pas le moindre lien entre elles 1. Les thèmes abordés sont très variés, mais pratiquement jamais basés sur des faits réels. En revanche, de nombreux lieux et évènement sont entièrement imaginés, pour le meilleur et pour le pire. Les personnages ont des caractères très variables, en fonction de l’histoire/l’auteur/le thème/l’époque/l’age du capitaine (rayez les mentions inutiles). Si certains personnages imaginés par l’Ecole Italienne sont devenus communs (Popop, Pr. Donald Dingue, Brigitte…), ils ont tous un caractère loufoque prononcé, rendant leurs personnalités assez proches. Bien entendu, il est impossible d’essayer de donner une quelconque cohérence ou chronologie à l’ensemble des productions de l’Ecole Italienne.

Et en France ?

Penchons-nous maintenant sur la « presse » française, dans le domaine, il y a une petite quinzaine d’années. J’ignore un peu ce qui se fait maintenant, mais nous avions à l’époque :

  • Le Journal de Mickey (hebdomadaire)
  • Mickey Parade (mensuel)
  • Super Picsou Géant (bimensuel)
  • Picsou Magasine (mensuel)

Sur ces quatre magasines, les trois premiers relevaient de l’Ecole Italienne, et seul le dernier proposait des histoires issues de l’Ecole Américaine. Il est donc aisé de comprendre l’image que renvoient les BD mettant en scène Donald et ses pairs… Si l’on s’en tient aux BD de l’Ecole Italienne, ça ne vole jamais très haut, et c’est même parfois franchement débile (tout n’est toutefois pas à jeter !). Pourtant, l’Ecole Américaine, elle, a mis au point un univers vaste et complexe, qu’il est vraiment dommage d’ignorer.

Keno Don Rosa, le disciple

Fondée par Carl Barks, cette dernière contient un autre auteur incontournable que l’on pourrait qualifier de génial, il s’agit de Keno Don Rosa.

Keno Don Rosa

Depuis sa plus tendre enfance, Don Rosa était un fan invétéré de Carl Barks et montrait des aptitudes au dessin. C’est donc naturellement qu’il a pris sa suite. Mais si l’Ecole Italienne ne s’est jamais imposé la moindre limite dans ses histoires sur la famille Duck, Don Rosa s’est au contraire imposé énormément de contraintes pour les milliers de planches qu’on lui doit. Parmi elles, on peut noter le fait que toutes ses histoires se passent volontairement avant 1957 (date de départ à la retraite de Barks, dans la réalité). Don Rosa a aussi étudié minutieusement toutes les histoires de Barks, pour deux raisons : tout d’abord ne jamais les contredire, mais aussi pour pouvoir en créer des suites ! En effet, il a réalisé bon nombre d’histoires qui sont les suites d’histoires écrites par Barks ou par lui-même, contribuant ainsi largement à la cohérence de l’univers de nos canards.

Remarque

Le vidéaste Super Canard, dont la chaîne sur Youtube traite beaucoup des canards de Disney (oui, il est sur un secteur de niche) évoque dans cette vidéo deux autres auteurs de l’école américaine, qui me sont inconnus : Tony Strobl et William Van Horn.

Un univers consistant

Parmi les éléments qui consolident l’univers des canards de Donalville, on peut en citer plusieurs qui me reviennent en tête.

Tout d’abord, il existes plusieurs cartes « officielles » (issues de l’imagination de Barks) :

Mais l’oeuvre majeure de Don Rosa est sans aucun doute la « Jeunesse de Picsou » : une BD s’étallant sur plusieurs centaines de pages et divisée en épisodes (conformément aux traditions des comics américains). Elle raconte comment Picsou est passé d’une famille pauvre de Glasgow – Ecosse – au statut de « canard le plus riche du monde » !

La Jeunesse de Picsou

Cette oeuvre est géniale à plusieurs points de vue. Tout d’abord, l’auteur a pris le plus grand soin de relever toutes les allusions au passé de Picsou dans les histoires de Barks pour les incorporer à son histoire. Mais en plus, il a eu à cœur d’inclure la jeunesse de l’oncle de Donald dans l’histoire réelle de la fin du XIXème siècle et de la première moitié du XXème. C’est ainsi qu’en la lisant, j’ai découvert de nombreux lieux et évènements historiques réels ! Composée à l’époque d’une douzaine d’épisodes, je crois savoir que Don Rosa en ajouté 5 ou 6 au travers d’épisodes « bis » s’intercalant entre les épisodes d’origines.

Conséquence logique, Don Rosa a plus tard réalisé un arbre généalogique (ci-dessous) de la famille Duck dans son ensemble, prenant en compte ses propres histoires, celles de Barks, mais tendant aussi la main vers l’Ecole Italienne, puisque notamment Popop y figure (l’absence de Donald Dingue s’explique par le refus obscur d’un éditeur).

Arbre généalogique

Mais dans un éternel soucis de détails de l’univers Duck, Don Rosa ne s’est pas arrêté là ! En vrac, et d’après mes souvenirs, il a créé des histoires autour de : l’origine du célèbre Manuel des Castors Juniors, la raison de la chance de Gontran (et de la malchance de Donald, d’où son caractère râleur), la façon dont les 3 neveux de Donald sont passé du stade de gamins turbulents à celui d’enfants sage et sérieux, l’origine et la fondation de la ville de Donaldville, etc…

En savoir plus…

La base de données I.N.D.U.C.K.S, à défaut d’être très ergonomique, regroupe avec un niveau de détails hallucinant les publications liées de prés ou de loin aux canards de Disney.

Sur le fond

J’ai beaucoup parlé de la forme, mais qu’en est-il du le fond ?! Et bien, toujours d’après l’Ecole Américaine, le fond des aventures de Picsou & Co peut appeler à de nombreuses réflexions (là aussi, ça va vous étonner). Si je prend seulement la saga de la Jeunesse de Picsou, nous avons (toujours d’après mes souvenirs) :

  • l’affrontement de la mort de ses parents ;
  • le poids des ancêtres ;
  • la destinée ;
  • les choix cornéliens aux carrefour de la vie (vaut-il mieux l’Amour ou l’Accomplissement de soi ?) ;
  • la place dans la famille.

Mais on pourrait y ajouter d’autres thèmes tirés des autres histoires plus « conventionnelles » : la responsabilité, le droit de faire quelque chose si on en a le pouvoir, des idées écologiques bien avant l’heure, etc…

Voilà qui nous conduit à la fin de cet article. J’espère que vous l’aurez apprécié autant que j’ai eu de plaisir à me replonger dans mes BD de jeunesse. Et j’espère aussi que vous ne regarderez-plus les BD des canards de Disney de la même façon… A titre indicatif, et pour conclure, l’univers des Ducks de l’Ecole Américaine était l’un des thèmes du dernier festival de la BD d’Angoulême auquel j’ai assisté, ce qui doit remonter à 4 ou 5 ans.

  1. En fait, elles ont parfois des liens lorsqu’un auteur décide de créer sa propre cohérence interne au sein de ses propres histoires. Exemple : le personnage de Fantomiald.[]

18 commentaires sur “La danse des canards”

  1. Je deviens nostalgique à la lecture de cet article… Picsou magazine, c’était la lecture de l’été (ça occupe les enfants pendant les longs trajets en voiture).

    Je suis aussi surprise : je croyais que les épisodes de la jeunesse de Picsou avaient été créés par Carl Barks lui-même.
    Et comme tu es un grand connaisseur de l’univers Donald, j’en profite pour te demander : connais-tu Mystermask ? Je ne l’ai vu qu’en dessin animé, je ne sais même pas s’il existe une BD. Et je trouve ce personnage injustement méconnu, ne serait-ce que pour ces répliques cultes ou son générique.

    En ce qui concerne les écoles italienne et américain, Mickey a beaucoup souffert lui aussi, ainsi que les personnages qui l’entourent. Mickey a perdu sa personnalité en même temps que ses défauts, il est devenu falot, et Dingo ne lui sert que de faire-valoir. A part Pat Hibulaire, beaucoup de ses compagnons ou ennemis ont presque disparu (Clarabelle, le fantôme noir, Iga Biva…).

  2. Moi aussi, j’ai frolé la petite larme de nostalgie en écrivant cet article ! 🙂

    Concernant MysterMask… Il faut dire que quand j’étais petit, la seule chose que j’avais le droit de regarder, c’était le Disney Club. Donc, effectivement, je pense tous les avoir vu. En réalité, il existe quelques BD, qui sont parues dans quelques magasines liés au Disney Club, justement. Je ne me souviens pas bien, mais je suis certain d’en avoir déjà lue. Je suis assez mitigé sur MysterMask. Autant c’est assez marrant, autant je trouve que ça n’a pas vraiment ça place dans l’univers Duck. Ca s’approcherait plus des Cartoons je trouve.

    Pour ceux qui ne connaissant pas MysterMask, voici un aperçu de l’OCNI (Objet Canardesque Non Identifié) : http://www.dailymotion.com/video...

    J’ai toujours été beaucoup moins fan de l’univers Mickey, justement parce qu’il manque de consistance dans son ensemble. Mais c’est vrai que dans les vieilles BD, il y a avait des personnages récurrents sympa. J’ajouterais aussi Bip-bip à ta liste. Par contre, d’autres nouveaux personnages sont apparus et sont restés depuis : le commissaire Finot ou l’inspecteur Duflair, par exemple…

  3. J’avoue être surpris qu’il y ait des gens qui ne connaissent pas du tout cet univers…
    Hm… J’espère ne pas me tromper parce que j’ai oublié mes sources, mais si je ne m’abuse, les comics Disney (en général, pas seulement les Donald) ne sont plus produits qu’en Europe, les Américains s’en étant lassés…
    Ce qui prouve quand même leur succès par chez nous !

    Personnellement, même si j’ai adoré petit les divers guides des Castors Junior présent qhez une de mes grands-mères, je n’ai jamais accroché aux magazines de BD Disney pour la raison suivante (sûrement fausse, mais pas tant que ça) : je n’aime pas énormément le style graphique de Mickey et Donald, et malheureusement, toutes les séries Disney reprenaient la même charte graphique !
    Parce que le but du Journal de Mickey, ce n’est pas de publier de la BD, c’est publier du Disney…
    Contrairement à Spirou, qui lui proposait et propose toujours une réelle "plateforme" de rencontre pour les dessinateurs de style variés (sauter d’une page de pur style belge "à gros nez" aux superbes peintures réalistes de Frank Pé, puis sur des strips infographiés comme Nelson, et enfin sur les nouvelles expériences graphiques de la génération post-mangas et des blogs-BD – cela permet une lecture très "dynamique"…)

    Du coup c’est vrai que je suis probablement passé à côté de très bon scénarios… Mais pour moi, une BD se doit d’être en constante recherche graphique, pas figée dans un style peu ou prou défini depuis les années 30…

  4. Je suis d’accord pour dire que le style graphique des comics Disney est un peu figé. Encore que…

    Encore une fois, si beaucoup de graphisme se ressemblent, on reconnait très facilement le style de Don Rosa : style fin, image légère sombre, dessin très dynamique et expression des personnage très recherchées.

  5. Ah la la, la lecture de ma jeunesse! Qui n’est pas aussi lointaine que la votre d’ailleurs… *songeur* :p

    En tout cas, je suis surpris que des personnes n’auraient pas ne serait-ce qu’entendu parler de cet univers très connu! Et pi, entre nous, ça m’arrive d’en lire par exemple en patientant dans une gare (bon, faute de manga :p) en allant au tabac qui font aussi souvent « librairie » 🙂

  6. Tu aimes Picsou aussi ?

    Mais on va finir par faire quelque chose de toi, finalement !!! *

    ___
    * Toute ressemblance à une phrase déjà mentionnée précédemment serait purement fortuite.

  7. Ouais, je suis sur que si on compte dans chaque article la présence de cette phrase, on trouverait un résultat assez gros :p

  8. Une image assez amusante transmise par Lyr :

    http://images.ekhorizon.com/images/236108jwj.jpg

    J’ai toutefois noté une erreur (sur la forme) : si Carl Barks est présenté au début, c’est pourtant d’une histoire de Keno Don Rosa dont il s’agit ici (son trait est facilement reconnaissable, quoique je ne me souvienne pas l’avoir lue celle-là).

    Cela dit, ça n’enlève rien à l’immense plagia de Christopher Nolan dans Inception ! 😀

  9. Ca vous dit de revenir un peu sur ce sujet ?

    J’ai de bonnes raisons de faire un nouvel article à propos des canards de Disney…

  10. Je me doute bien, mais j’aime pas le teasing ;-p

    Enfin, disons qu’internet, mais plus globalement les médias, m’ont fait faire une overdose de teasing, ce qui entraîne maintenant chez moi un rejet. Toutes les pubs partout sont du teasing. Tous les titres d’articles de journaux sont du teasing. Tout est fait pour capter ton attention, avec, très souvent, bien moins de contenu derrière que ce qui est promis dans le teasing.

    Mais enfin, rien à voir avec ton blog ! Envois donc ton article, (sans chercher à racoler avant XD), je le lirai, probablement avec grand plaisir même !

  11. Moi j’aime bien le teasing, quant il tient ses promesses (ça exclut généralement la pub).

    Et puis, il faut « savoir lire » un teaser, je pense. Il faut partir du principe qu’il annonce le top, le meilleur des cas, et donc le pondérer en conséquence.

    Ceci étant, là, je n’ai fait aucune annonce, aucune promesse. J’ai juste indiqué le sujet d’un prochain article. 🙂

  12. Oui, je sais.

    Lorsque j’ai changé de raccourcisseur d’URL, j’ai perdu tous ces anciens liens… 🙁

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